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les fan fic de Mokona (1)

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les fan fic de Mokona (1) Empty les fan fic de Mokona (1)

Message  Mokona Mar 1 Jan - 21:54

Enfance de Christie


Christie étant un personnage que je n'apprécie pas particulièrement (à cause de sa personnalité), j'ai décidé d'écrire une fan fic en son honneur afin de la faire apparaître sous un meilleur jour et de la rendre plus attachante. Ce qui va suivre relatera des évènements de son enfance, qui sont, bien entendu, totalement fictifs. (en admettant que les personnages existeraient réellement dans un univers parallèle.)

« Dead or Alive » reste la propriété de son/leurs auteur(s) respectif(s). Je ne suis pas associé à Team Ninja/Tecmo Koei, ni aux créateurs, développeurs et autres. Aucune violation de copyright n'est intentionnelle. Aucun profit financier ne sera tiré de ces textes.
La petite fille était aux anges. C'était la nuit de Noël et le sapin trônait royalement au milieu du salon. Elle ne pouvait s'empêcher d'admirer cet arbre majestueux qu'elle avait patiemment décoré avec l'aide de son père. C'était vrai qu'il avait fier allure avec ses bougies et ses anges dorés. Il ne manquait plus que la touche finale, la grande étoile que son père achevait de fixer au sommet. Le résultat était parfait, magique.
La petite fille avait , plus tôt dans la journée, ressenti une grande tristesse quand son père et elle avaient choisi le sapin. Dans son imagination de petite fille de 5 ans, acheter un sapin et l'amener chez eux était séparer le sapin de sa famille, l'arracher loin des siens. Elle n'avait pas pu s'empêcher de pleurer en voyant tous ses sapins, allongés les uns sur les autres, prisonniers de leurs filets. Elle avait imaginé leurs souffrances lorsque on les avait brutalement tranchés, les séparant à tous jamais de leurs racines et des leurs, les condamnant ainsi à une mort certaine. Christie (tel était le nom de la petite fille) n'avait beau être qu'une enfant, elle savait qu'une plante ne pouvait survivre sans ses racines. Pourquoi les gens ne comprenaient ils pas? En coupant les grands sapins, ils séparaient les parents de leurs enfants. Qu'allaient devenir ses petits sapins abandonnés loin de leurs parents? A ses pensées, elle s'était mise à pleurer à chaudes larmes.
Son père s'était alors penché au dessus d'elle et avait écouté non sans tendresse, ces explications maladroites . C'est alors qu'il avait fait ce que tout bon père aurait fait dans sa situation. Il avait choisi un sapin en pot, pas très grand mais qui, aux yeux de la petite fille, était le plus beau d'entre tous, le plus grand et le plus fort. Après tout, c'était son père qui l'avait choisi. « celui là devrait convenir; avait il dit; comme cela, après Noël, on pourra le replanter auprès des autres sapins. »
La petite fille s'était alors inquiétée. « Mais est ce qu'il s'entendra avec les autres sapins? Ils ne vont pas être méchants avec lui? »Son père lui avait alors sourit et avait pris un air énigmatique pour lui répondre « mais voyons ma chérie, tous les sapins s'entendent bien entre eux. » la petite fille avait alors éclaté de rire et c'est ainsi qu'ils avaient adopté le petit sapin.
Le sapin était maintenant prêt. Christie s'empressa alors d'aller chercher sa mère afin que celle ci puisse admirer le travail que son père et elle avaient accompli. Celle ci achevait de sortir des scones qu'elle disposait à présent dans une assiette ornée d'un joli napperon de papier.
Christie, les yeux pleins de gourmandise, tendit une main vers l'assiette mais sa mère l'arrêta en souriant:
] _ Pas tout de suite mon poussin, ils sont encore chaud. Tu risquerais de te bruler. Et ceux ci sont pour le Père Noël. Tu ne voudrais pas que le Père Noël n'ait pas de gâteaux, n'est ce pas?
Christie hocha négativement la tête pour montrer son indignation. Priver le Père Noël de gâteau, alors que celui ci était si gentil... c'était tout simplement inconcevable. Elle attendit patiemment que sa mère ait retiré ses gants de cuisine et son tablier pour la tirer par la manche.
_ Papa et moi, on a fini de déguiser le sapin, tu veux venir voir?
La mère, émue par la remarque ingénue de l'enfant acquiesça de la tête.
_ Je vais venir regarder mais après je vais devoir préparer le repas.
_ Ne t'inquiète pas ma chérie; fit le père en entrant dans la cuisine; tu peux compter sur moi pour t'aider. On va commencer par préparer ce petit gigot là.
Ce disant, il avait soulevé sa fille et la jetait dans les airs, au grand bonheur de la petite qui poussait des cris de joie mêlés de peur. La mère prit un air faussement effrayé mais ne put s'empêcher de rire à son tour. Le père déposa sa fille au sol et ensemble, ils se rendirent au salon.
Le réveillon de Noël était à présent achevé et la petite avait sombré dans un monde merveilleux où les licornes côtoyaient les lions et où... quand soudain, un grand bruit l'arracha se son sommeil.
Elle ouvrit doucement les yeux et regarda son réveil. Minuit. Elle se mit à sourire. Ce bruit, cela ne pouvait être que le Père Noël. Elle hésita un instant et se leva timidement de son lit. Elle savait qu'il était interdit de voir le Père Noël mais la tentation était trop forte. Elle ouvrit la porte de sa chambre.
Le couloir était sombre et froid et Christie commençait à se sentir mal à l'aise. Quelque chose à l'intérieur d'elle même lui hurlait de ne pas avancer, de retourner le plus rapidement possible dans sa chambre et d'enfouir sa tête sous ses couvertures, comme elle le faisait habituellement pour se protéger des monstres. Mais la tentation de voir le Père Noël était trop forte. Elle avança dans le couloir. C'est alors qu'elle se rendit compte que la porte d'entrée était ouverte.
La peur envahissait à présent la fillette. La porte n'aurait pas dû être ouverte, pas de cette façon. Le père Noël n'entrait pas par les portes, il entrait par la cheminée, ou, à défaut, par les fenêtres mais jamais par la porte. Malgré sa peur, la petite ne cria pas et ne pleura pas, comme son père le lui avait appris et se dirigea vers la chambre de ses parents. La porte étant entre ouverte, elle la poussa légèrement et s'arrêta net.
La lueur pâle de la pleine lune éclairait la pièce. Sa mère semblait dormir et son visage semblait de cire sous cette lumière surnaturelle. Mais son visage était à jamais figé dans un hurlement d'horreur. Les draps froissés et déchirés, autrefois si blancs avaient pris à présent un ton écarlate. Christie était tétanisée et ne pouvait détacher ses yeux de ceux de sa mère qui semblaient en vain implorer la pitié. Son cou, si délicat, était à présent orné d'une lisière rouge brillant sinistrement, tel un joyau maléfique.
Prise de panique, Christie partit en courant vers le salon, dans l'espoir de retrouver son père et son sang se glaça d'horreur. Le père Noël était passé et n'était apparemment pas reparti. Jamais il ne pourrait repartir. Le sapin avait été renversé et le Père Noël gisait à ses pieds. Christie s'approcha doucement et perdit à tout jamais son innocence. Le père Noël, qu'elle avait toujours imaginé souriant avait le visage figé dans une expression absurde et terrifiante. Sa gorge était orné du même joyaux que sa mère et sa barbe était écarlate. Par comble d'ironie, on pouvait distinguer sur celle ci des miettes des gâteaux que sa mère avait si soigneusement confectionnés. Il en tenait encore un dans sa main droite. Christie s'approcha plus près, aux bords des larmes. On avait tué le Père Noël! Comment les autres enfants feraient ils pour recevoir leurs cadeaux.? Et où pouvait bien être son père? Qu'était il arrivé à sa mère? Son père... les yeux agrandis par l'horreur, la petite fille vit la barbe du Père Noël glisser silencieusement.
Ce n'était pas le Père Noël. Le père Noël n'avait jamais existé. Tout ceci avait été un mensonge, un rêve entretenu par ses parents . Les fois où elle avait cru le voir, elle s'était trompé. Car le père Noël avait toujours été son père. Elle en avait à présent la preuve.
Elle resta un instant pétrifiée, pendant un long instant qui sembla durer des siècles et où plus rien n'avait de consistance, comme dans une sorte de brume pourpre et nauséabonde. cette horreur, elle la reconnaissait. c'était celle que dégageait cet homme que son père et elle avait retrouvé une fois devant leur maison en plein hiver, le visage bleui par le froid, ses yeux ne reflétant plus aucune lueur. son père l'avait alors entraîné dans la maison et avait appelé la police. Il lui avait alors expliqué que ce qui était était arrivé à ce monsieur était la mort et que jamais il ne redeviendrait comme avant. et maintenant Christie savait que quand quelqu’un ou quelque chose avait cette odeur, c'était qu'il était mort. Elle s'agenouilla auprès de son père et essaya de le réveiller. Mais cela ne servit à rien. son père, sa mère étaient partis et ne reviendraient jamais. elle ne pouvait plus tenir, elle ne pouvait plus rester. en elle quelque chose s'était inexorablement brisé. Désespérée, terrifiée elle quitta cette maison où désormais, plus rien ne la retenait, où plus rien n'avait d'importance.
Et Christie disparut dans la nuit sombre et brumeuse, quittant pour toujours le monde de l'enfance.
Fin


Bayman amoureux?


« Dead or Alive » reste la propriété de son/leurs auteur(s) respectif(s). Je ne suis pas associé à Team Ninja/Tecmo Koei, ni aux créateurs, développeurs et autres. Aucune violation de copyright n'est intentionnelle. Aucun profit financier ne sera tiré de ces textes.

Tout public

Précision majeure: Certains aspects de personnalité des personnages ne sont absolument pas réalistes et donc non conforme aux histoires développées dans le jeu.

]Bayman était épuisé, éreinté. Le contrat qu'il venait d'accomplir l'avait laissé sur les rotules. Bien entendu, il y avait eu l'excitation de la chasse mais il ne s'était pas attendu à ce que sa proie soit si difficile à abattre. Il avait dû user de stratagèmes inhabituels afin de mener à bien sa mission.
C'était peut être pour ces raisons, parce que son travail s'était déroulé dans des circonstances inhabituelles qu'il s'était décidé à se rendre dans ce bar. Il n'avait pas l'habitude de se rendre dans des endroits fréquentés mais après tout, où n'était on pas mieux caché que dans une foule, anonyme parmi les anonymes? A cette pensée, Bayman se sourit à lui même. Adopter une nouvelle stratégie, changer ses habitudes, il y avait de quoi déboussoler ses ennemis. Jamais ceux ci ne penseraient à le chercher dans ce bar et même si c'était le cas, il était paré à cette éventualité.
D'un pas nonchalant, il se dirigea vers le comptoir, adoptant une attitude décontractée par mimétisme quand le drame se produisit.
C'était comme si son cœur s'était arrêté ou avait explosé dans sa poitrine. Il n'avait jamais ressenti une sensation pareille. En quelques instants, il avait été foudroyé, anéanti. Ces certitudes, tout ce qu'il avait fait, tout ce qu'il envisageait de faire, tout ce qui faisait de lui ce qu'il était... tout cela avait été pulvérisé , dissipé, vaporisé comme après une explosion nucléaire. Il ne restait plus rien en lui, plus rien que cette sensation indéfinissable qui l'envahissait telle une lumière blanche, aveuglante et dévastatrice. Que lui arrivait il?
Il n'arrivait plus à réfléchir et tout son être, corps et âme était désormais tourné vers cette magnifique jeune femme blonde aux formes (extrêmement) généreuse qui venait de rentrer dans le bar et qui s'approchait à présent du comptoir Le cœur battant, il se dirigea vers elle en bombant le torse, et d'une voix qu'il voulait amicale et assurée, lui demanda:
_ Bonsoir, désirez vous prendre un verre ?
Le premier réflexe de la jeune femme fut de s'enfuir en courant. Pourquoi ce type à l'allure de psychopathe lui adressait il la parole? Mais cependant, elle se ravisa et lui adressa un grand sourire.
_ Volontiers. Quel est votre nom, beau brun?
Bayman tiqua et s'empêcha de justesse de grimacer de dégoût. La qualification de« beau brun  même venant de la bouche de cette Déesse lui laissait comme une sensation amère, une impression de fausseté.
_ Bay... Fiodor. Fiodor Rikovitch.
_ Enchantée Fiodor Rikovitch; fit la beauté fatale en s'asseyant sur un tabouret de bar et en croisant ses longues jambes gracieuses; je suis Tina. Tina Armstrong. Et que fais tu dans la vie Fiodor?
Le passage au tutoiement ayant légèrement déstabilisé Bayman, il hésita un instant avant de répondre:
_ Je travaille dans le milieu audiovisuel.
Tina, visiblement intéressée, accouda ses coudes sur le comptoir et y appuya ses mains, ce qui eut pour effet de donner à notre assassin préféré une vue plongeante sur son décolleté. Gêné, il détourna le regard et se concentra sur les sourcils finement dessinés de la « Daikini ».
_ Vraiment? Dis m'en plus; fit elle; mais avant, commande moi à boire, j'ai soif. Choisis pour moi.
Bayman sentit le piège venir. C'était un test. S'il prenait la boisson la moins chère, il allait passer pour un radin et s'il prenait la plus chère, il passerait pour quelqu'un qui dépense son argent sans réfléchir. Il observa un instant la jeune femme, essayant de deviner ses goûts et commanda finalement un cocktail alcoolisé aux couleurs vives pour elle et deux quadruple vodka pour lui.
_ Ce que je fais n'est pas très intéressant. Je me contente de nettoyer.
Tina parut un instant déçue mais n'en fit rien paraître. Quelque chose dans l'attitude de cet homme l'intriguait, comme s'il cachait une blessure secrète. Il n'avait beau pas être son type, elle avait envie d'en savoir davantage à son sujet. Quelque chose en lui l'émouvait. Sa timidité peut être, ou peut être le soin qu'il prenait à ne pas regarder sa poitrine.
_ Cela n'a pas d'importance. Tout le monde a sa place dans la société. En ce qui me concerne, je voudrais être gouverneur d'Etat.
Bayman faillit en tomber de sa chaise de stupéfaction. Pour se donner une contenance, il vida son verre d'une traite et faillit s'étouffer. Son visage devint cramoisi et pendant quelques instants, il eut l'air d'un démon, ce qui ne fut pas sans déplaire à Tina, qui appréciait les hommes, les Vrais (un peu comme son père d'ailleurs, mais cela, elle n'en avait pas conscience). Cet homme était un mélange de virilité et de timidité subtilement dosé. Exactement ce qu'il lui fallait: un homme qui ferait tout ce qu'elle voudrait et qui la protégerait en même temps, un homme dont elle pourrait soigner les blessures. Un homme qui ne l'empêcherait pas de vivre ses rêves. Un homme qui la comprendrait Cela, elle l'avait su quand il avait choisi sa boisson. Sans s'en rendre compte, sans doute, il avait sélectionné la boisson idéale pour elle, celle qui lui correspondait le mieux et rien que pour cela, il était monté dans son estime. Après cela, peut importe ce qu'il faisait dans la vie, cela n'avait guère d'importance.
Elle posa une main amicale sur son épaule:
_ Est ce que ça...
Elle s'interrompit brusquement, manquant de peu de s'écrouler de son siège. Bayman, guidé par un quelconque réflexe de survie l'avait violemment repoussé. Son visage avait d'ailleurs radicalement changé de couleur. Du rouge écarlate, il était passé au blanc cadavérique. Elle sourit intérieurement. Cet homme avait peur des femmes. Une expérience malheureuse avait dû lui laisser un traumatisme tel qu'il ne supportait plus qu'elles le touchent. Décidément, cet homme était pour elle. Mais comment l'approcher? Comment le mettre en confiance?
[tab=60] Elle arrangea ses cheveux d'un élégant geste de la main et observa Bayman qui vidait son deuxième verre d'une traite.
_ Est ce que ça va; fit elle; tu ne sembles pas...
]_ Besoin de prendre l'air; fit il en déposant une liasse de billets sur la table; me sens pas bien.
Tina hocha la tête, compréhensive.
_ Souhaites tu que je t'accompagne?
Bayman ne se sentant plus de joie, grogna pour montrer son acquiescement. Il aida Tina à enfiler sa veste et tous deux quittèrent le bar.
Ils n'étaient à peine sorti que Tina s'était subrepticement approchée de lui pour se coller légèrement contre son flanc. Cette fois ci, Bayman n'eut pas de réflexe de survie, et ce malgré l'invasion avérée de son espace vitale. Après tout, il faisait froid et sa déesse avait sans doute besoin de se réchauffer. Il ôta son blouson et le déposa délicatement sur les épaules de la jeune femme. Celle ci se blottit davantage contre lui et ils se mirent en marche.
]Ils marchaient à peine depuis quelques secondes qu'un rugissement de bête assoiffé de sang retentit:
_ TinAAAAAAAAAAAA!
Quelques instants plus tard, le sol se mit à vibrer comme si une centaines de tanks s'étaient soudainement mis en marche. Bayman aperçut au loin un ours gigantesque et monstrueux qui lui fonçait dessus, prêt, sans doute à le déchiqueter et à le réduire en une bouillie innommable. S'en était trop pour lui. Il avait eu trop d'émotions pour la journée. Avant qu'il n'ait pu distinguer les yeux de la bête immonde, il s'enfuit sans demander son reste.
C'est ainsi que s'achève la ( première?) relation amoureuse de Bayman. Pour ceux qui s'inquiètent de la pauvre Tina abandonnée sur le trottoir, ne vous en faites pas. Elle a sû rebondir et a même gagné une veste chaude dans la tourmente, ainsi qu'un gros paquet de billets. N'ayant pas pu retrouver Bayman, puisque celui ci n'avait pas de carte d'identité sur lui et qu'il lui avait fourni une fausse identité, elle décida d'investir cet argent dans sa campagne. Bayman, quand à lui, oublia rapidement cette histoire et reprit ses occupations habituelles.

Fin
Mokona
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Message  kurushi Mer 2 Jan - 3:41

Un jolie conte de noel et bien écrit qui plus est merci pour cette lecture!

kurushi

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